8.5.08

Lemaire prepare-t-il la table pour Tremblay ? et…

Malgré qu’il lui reste encore deux ans à son contrat avec le Wild, il n’y a pas d’écriture dans le ciel qui dit qu’il va les terminer. Il réfléchit encore à son avenir derrière le banc du Wild. Cette fois, il aura le loisir de désigner son successeur, ce qui n’était pas le cas au New Jersey.

Il est certain qu’il a déjà choisit, car il doit sentir qu’il est prêt. Vous l’aurez sans doute deviné, je parle de Mario Tremblay, qu’il lui sert d’adjoint depuis le début de la concession. Sans doute Tremblay a beaucoup appris sous Lemaire, il aura plus de maturité cette fois, et il ne sera pas le même genre d’entraineur qu’il a été avec le Canadien. Il ne faut pas que Mario devient la copie conforme de Lemaire, sinon c’est échanger quatre trente sous pour un dollar.

Il est dans un environement idéal, il aura pas répondre à cinquante questions par jour sur le même sujet, il n’aura pas toujours à justifier ses décisions devant une meute de journalistes qui accompagnent l’équipe. Ne soyez pas étonné d’entrendre à travers les branches que la saison 2008-09 serait la dernière saison de Jacques Lemaire comme entraineur dans la LNH.

À suivre…

Les Maples Leafs de Toronto ont congédié l’entraineur Paul Maurice. Il n’est pas étonnant, c’était une question de temps. Cette nouvelle a pris toute une tournure, car on c’est mis à spéculer que les Maple Leafs avaient trouver leur nouveau Directeur-général. Les hauts dirigeant ont tous niés. Il y a plusieurs scénarios possible, mais les médias de la ville reine croit que c’est la première étape de l’entrée en scène l’an prochain de Brian Burke, quand son contrat avec les Ducks sera à échéance. Pour croire que c’est pas juste à Montréal qu’on le voit et attend l’arrivé d’un messie. Que feront-il si jamais les propriétaires des Ducks lui présentent un contrat faramineux et à long terme au cours de la prochaine saison ? Est-ce que les propriétaires ont un plan B ? Il faut espérer, car on pourrait revoir une autre saga à la Ferguson Jr.

C’est pas pour rien que Toronto tourne en rond depuis 1967, a force d’être étourdis, on ne sait plus où se donner la tête.